ESCP Europe Alumni Magazine - n°129 - Mars 2010 - 43

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13 professionnels du Search vous ont donné leur éclairage
Jean-Pierre Bille - Hudson Nicolas CONSTANS (93) – Bossfield Geoffroy DESVIGNES (71) - Neumann International Sylvain DORGET (01) - Vendôme Associés Florence Painchaud - Jean-Louis Ferrein & Associés Eveline de Franclieu - Humblot Grant Alexander Catherine Grand-Dewyse - Search Partners International Albérique JABALOT (95) - Eric Salmon & Partners Olivier Leroy - Bossfield Frédérick MARTIN (94) - Hudson Françoise de METZ-NOBLAT (82) - Odgers Berndtson Vincent MIEGE (91) – Neumann International Alain VERHACK (72) - ESG-Cadreal

« Soyez original dans votre façon de vous présenter. Faites en sorte d’être un candidat unique en parlant de vos apports, en mettant l’accent sur qui a fait votre réussite et en sachant parler de vos difficultés. Ne vous contentez pas d’énoncer, rendez votre histoire vivante, vraie, authentique ! Regardez dans le regard de l’autre ce qui l’intéresse. Faîtes voir votre ouverture, votre curiosité et votre capacité à vous remettre en cause. Nous recherchons des personnalités et nous sommes très sensibles à l’intelligence émotionnelle… Et, développer une culture internationale est un gage d’adaptabilité, d’ouverture et de curiosité. » « C’est la personne et non la compétence technique qui va faire la différence. Autrement dit : être soi-même et ne surtout pas jouer un rôle. Exprimer ce à quoi on croit, sans chercher à plaire. C’est bien souvent sur des aspects culturels et personnels que les choses achoppent... et il vaut mieux que ce soit avant, qu’après avoir rejoint l’entreprise. » « Le candidat qui veut se valoriser est celui qui répond à plusieurs points : - problématique de mobilité, il faut qu’il y réfléchisse et que sa décision ne soit pas liée à la qualité d’un poste mais de son projet personnel. - sa compétence doit présenter sa valeur ajoutée, au plan de son apport à l’entreprise. Il ne s’agit donc pas seulement d’une compétence technique, sinon il prend une posture d’expert, mais s’il se positionne en manageur il doit avoir

une valeur ajoutée construite par son expérience professionnelle. Comme elle ne doit pas l’enfermer dans un secteur (quoique dans certains cas...), il faut qu’il sache présenter sa maîtrise d’un ou de plusieurs modèles économiques. - posséder un équilibre entre son expérience (sa durée et son niveau), sa responsabilité, sa rémunération. » « Avant tout être patient et persévérant dans des processus de recrutement globalement plus longs et garder confiance en soi car c’est une course de fond. Faire parler de soi et donner envie : faire jouer son réseau dans l’entreprise ciblée ou autour de ses dirigeants, proposer spontanément des références de qualité, prêtes à défendre votre candidature. » « Surtout éviter de se refermer sur soi, de se crisper en attendant des jours meilleurs. Au contraire, il faut s’ouvrir aux autres et solliciter leur regard sur notre situation professionnelle et nos éventuels projets. Soit des proches, soit des anciens collègues ou n+1, soit des professionnels du recrutement voire de l’accompagnement avec qui on a eu des relations privilégiées. C’est peut-être le moment d’enclencher un bilan de compétences, sans qu’il soit subi. Au-delà, c’est aussi l’occasion de (re)démarrer une démarche « réseau » pour obtenir d’autres éclairages qui renforceront d’autant notre discours dans le process de recrutement. Réciproquement, c’est aussi une bonne période pour donner du temps à ceux qui vous sollicitent pour eux-mêmes. » l

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Table des matières de la publication ESCP Europe Alumni Magazine - n°129 - Mars 2010

Couverture
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Sommaire
Éditorial
Personnalité du mois
Focus
Itinéraires
Entretiens
Vie du réseau
À lire
Évolution professionnelle
Voyages
École
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Vie étudiante

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