ESCP-EAP Mag - n°119 - Juillet 2008 - 59

Campus Anne : Les Executive MS de l’École ont de nombreux avantages : ils sont en temps partagé et à Paris. Je n’envisageais pas de partir à l’étranger à court terme et un MBA était trop généraliste pour mon projet. Laurence : Il y a eu évidemment beaucoup de changements durant toutes ces années. Ce qui m’a le plus frappée est surtout l’augmentation du nombre d’étudiants étrangers… et peutêtre malheureusement la disparition de notre cafétéria, avec son charme vieillot (rires) ! Anne : Oui, je regrette la mezzanine qui avait vraiment un côté étudiant, mais en ce qui concerne le Restaurant Universitaire, là il y a eu une réelle amélioration ! La bibliothèque, elle, n’a pas changé. Monika : L’École s’est largement ouverte, d’une part à l’international, et d’autre part à de très nombreux événements tels que des conférences, ateliers, colloques ou présentations, organisés en collaboration avec des entreprises et l’Association des Anciens Élèves. Toutes les conditions sont donc réunies pour le « networking ». Laurence : Nous étions 240 par promotion, cela aussi a évolué, et le changement dans l’aménagement des amphis est impressionnant. Anne : Reprendre des études après une interruption n’est pas évident, mais le fait d’avoir déjà travaillé permet de mieux connaître ses manques par rapport à son travail et son expérience. On peut ainsi élargir sa palette de connaissances et de pratiques. Il y a vraiment de bons intervenants extérieurs dont l’expérience est particulièrement enrichissante, noD’autres Anciens auraient également pu s’exprimer : - Raphaël WACHÉ (EAP 93 et MSL 06), - Christian MENNESSON (MBA 03 et MSN 07), - Xavier DUCOURAU (91 et MSG 08), - Evelyne LUDES (81 et MSV 08), - Et sans oublier Dominique RICHER (70) qui va recevoir l’année prochaine un nouveau diplôme de l’École : MS Gestion de patrimoine en temps partagé - presque 40 ans après son premier ! Monika Stockmann (01) tamment pour un mastère spécialisé dont les participants exercent tous une activité professionnelle et peuvent soumettre leurs propres problématiques à l’ensemble du groupe et des intervenants. Il faut bien s’organiser pour concilier son activité professionnelle, sa vie familiale et la formation, qui représente beaucoup de travail, mais quel plaisir de se retrouver sur les bancs de l’École pour approfondir et mettre à jour ses connaissances ! Monika : L’avantage de ces programmes, c’est la forte présence de professionnels qui apportent un éclairage complémentaire à l’académique. Ces cursus nous permettent de devenir de véritables généralistes de la gestion de patrimoine, capables de maîtriser et de « mettre en musique » l’ensemble des spécialisations que nous avons acquises. Laurence : Le bilan des 15 mois que j’ai passés à l’École est très positif. J’ai pu affiner le business plan de ma nouvelle activité de « family office » et acquérir les compétences qui me manquaient pour compléter mon offre. Anne : Pour ma part, j’ai obtenu une promotion dans mon travail après mon diplôme. En charge des Assurances chez Arianespace pendant la formation, j’ai maintenant la responsabilité du Financement et des Assurances. Monika : Retourner à l’École nous permet de développer nos réseaux relationnels, et c’est comme ça que j’ai rejoint en début d’année un groupement de Conseillers en Gestion de Patrimoine Indépendants. l Approfondir ses connaissances tout au long de notre vie professionnelle. ESCP-EAP MAGAZINE N° 119 - Juillet 2008

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